Sur le nouveau pouvoir des « faux-monnayeurs » des banques centrales, quelques observations complémentaires

 

 

 

Sur le nouveau pouvoir

des « faux-monnayeurs »

des banques centrales,

https://tribunemlreypa.wordpress.com/2020/04/22/demasques-le-nouveau-pouvoir-des-faux-monnayeurs/

Quelques observations complémentaires

 

 

Sur le nouveau pouvoir des « faux-monnayeurs » des banques centrales, quelques observations complémentaires et nécessaires, en réponse au camarade Viriato.

 

[+ Voir à la suite un nouvel échange avec le camarade G. BAD]

 

Extrait d’un mail envoyé par le camarade Viriato :

« Je viens de relire ton truc et, si la tendance que tu dessines se confirme encore plus avec les événements, (le premier ministre vient d’annoncer une casse terrible de l’emploi. Le Figaro hier.) c’est un document d’une grande portée.[…]En gros traits, on serait dans une évolution vers une dictature ou un autoritarisme étatique prononcé soutenue ou par la fraction classique capitaliste ou par la fraction « de gauche » ou révisionniste ou bureaucratique ou les deux. »

 

Réponse TML >>> Dans la mesure où la véritable classe dominante actuelle se résume déjà à quelques monopoles financiers commandés par une poignée de gros détenteurs d’actions et de postes de responsabilités dans leurs CA, le « glissement » en réalité aujourd’hui brutal du pouvoir vers les responsables des banques centrales, qui ne sont pas non plus sans « avoirs » personnels dans le reste du système, ce « glissement », donc, s’opère d’une minorité manipulatrice vers une autre.

Ce qui change, c’est que les États, tout comme les CA des monopoles financiers et industriels, cessent d’être des centres de décision et de pouvoir réel. Ils ne sont plus que les relais des politiques économiques décidées et « financées » par les banques centrales, sous différentes formes d’endettement. Ces infrastructures et superstructures, qu’elles soient publiques ou privées, ne survivent plus que sous perfusion monétaires.

En réalité, la nouvelle infrastructure économique réellement « fonctionnelle » en termes de survie du système devient la relation « financière » de plus en plus directe, entre les banques centrales et l’appareil productif, même si encore voilée par les « intermédiaires » étatiques et bancaires du capitalisme monopoliste « traditionnel » hérité du 20ème siècle.

Dans une sorte de « phase de transition » déjà amorcée en 2008 et qui connaît donc une « avancée » décisive avec la « crise du Covid-19 », les États et les structures économiques « entrepreneuriales » traditionnelles encore en place ne jouent plus qu’un rôle de relais obligé des politiques de gestion décidées par les banques centrales.

Ce qui change au regard de la forme par laquelle la loi de la valeur se manifeste encore, c’est le changement de rôle du capital « fictif » dans la circulation monétaire. Son pouvoir et son « rôle de moteur » de l’expansion capitaliste-impérialiste à travers le monde est en train de s’effacer progressivement, mais assez rapidement, également, derrière le pouvoir des banques centrales, qui peut décider du niveau de « capitalisation » des marchés financiers, déjà également sous perfusion monétaire, depuis 2008.

Les marchés financiers ne jouent encore un rôle que pour répartir les prébendes, désormais dépendantes des banques centrales, aux « bons élèves » et kollabos de haute volée diverses qui ont bien appliqué leurs directives !

 

 

Autre observation du camarade Viriato :

« Ce type de régime nécessite une base sociale, et la bourgeoisie bancaire ne peut pas l’apporter sans associer au moins quelques couches salariés devenues très majoritaires dans toutes les sociétés. Le rapport sociologique est trop défavorable à la petite minorité bourgeoise qui ne trouverait aucune justification à son domaine sans la collaboration d’une couche sociale dont la forme politique est « la gauche » institutionnelle, écologistes compris. »

 

 

Réponse TML >>> Comme on vient de le voir, cette évolution actuelle du système n’a pas besoin d’une base sociologique spécialement nouvelle, vu qu’elle est précisément déjà le « fruit » d’une évolution en cours depuis plusieurs décennies, et singulièrement, depuis 2008. Elle trouve donc « spontanément » une masse de kollabos à tous les échelons de la société, et notamment, effectivement, dans les partis politiques « traditionnels » et y compris et notamment, dans les partis « de gauche », « écologistes », et pseudo- « anti-capitalistes », etc… Les discours sur les « temps nouveaux d’après-Covid-19 » sont, pour la plupart, des relais idéologiques, conscients ou non, de cette « mutation » du système.

 

 

Autre observation du camarade Viriato :


« Il faudrait revoir la polémique des années 30 sur ces questions et sur la formation d’une étape intermédiaire de autoritarisme bureaucratique et sa critique. Je vais m’y mettre dès que j’aurais trouvé les articles mais je te préviens que j’ai eu connaissance de cette question par la littérature trotskiste. en fait, lors de la critique du bureaucratisme en URSS, un courant à part, a développé la thèse que l’URSS était la première forme d’une étape intermédiaire entre le capitalisme et le socialisme sous sa forme de domination de la bureaucratie et (là je ne me rappelle plus) et ils ont été critiqués par le courant orthodoxe troskiste et… conseilliste (peut-être, car je ne me rappelle pas non plus)
Bref, un truc à creuser. »

 

Réponse TML >>> Franchement, camarade, il n’y a absolument rien à « creuser » de ce côté là… Comme expliqué ci-dessus, si « transition » il y a, ce n’est évidemment pas vers quelque sorte de socialisme que ce soit, mais simplement vers un nouveau type de domination de classe, qui permettra à une classe dominante toujours minoritaire de conserver son pouvoir et ses privilèges sur la majorité des êtres humains toujours soumis et asservis par leur dépendance à une production des valeurs d’usages indispensables toujours contrôlée, donc, par cette minorité.

La différence étant donc, de plus en plus, et totalement, à terme, dans une évolution de la circulation monétaire contrôlée par les banques centrales et adaptée à l’effacement progressif du champ d’action de la loi de la valeur, sous la contrainte du développement de l’automatisation et de la robotisation de plus en plus totale de la production et des services.

 

Luniterre

 

 

Un nouvel échange avec le camarade G. Bad >>>

 

G.Bad A propos du texte « le nouveau pouvoir des faux monnayeurs » de Luniterre:

 

Bien que nous ayons par ailleurs de nombreuses divergences, ton dernier texte je le trouve intéressant parce qu’il remet les pendules à l’heure sur quelques points sur lesquels des débats inutiles se concentrent.

 

Tout d’ abord tu as raison de critiquer la théorie du chaos, bien que l’ évolution du capital soit chaotique au sens de « crise ,guerre, révolution ». C’est donc la théorie du chaos actuellement diffusée qu’il faut critiquer.

 

Ensuite tu a raison de dire que les polémiques sur le « déchencheur » Covid-19 sont sans objet.

 

Ensuite on rentre dans le vif du sujet, le passage du monétarisme ( anti-inflation) en 1979 au retour à la planche à billet 2008 ensuite nouvelle contraction de la masse monétaire puis relâchement complet et total actuellement.

 

Dans ton analyse tu fais entrer l’ augmentation de la productivité du travail

 

« En effet, l’augmentation de la productivité du travail n’est pas due à une multiplication exponentielle ni de la force physique des prolétaires, ni même de leur habileté manuelle, mais bien de la progression des technolog.Paradoxalement, mais seulement en apparence, c’est bien l’augmentation considérable de la productivité du travail qui est à l’origine de cette chute de rentabilité des capitaux « productifs ».ies de production, et singulièrement, de l’automatisation de plus en plus grande, et de l’extension de la robotisation. »

C ‘est la période dite du fordisme et du taylorisme ( plan Marshall…)

La ou je ne suis pas d’ accord avec toi, c’ est quand tu dis , que c’ est la productivité du travail qui est à l’ origine de la chute de rentabilité des capitaux productifs. C ‘est une erreur que l’ on retrouve souvent chez des « marxistes » qui n’ont pas assimilé que la baisse du taux de profit est toujours compensé par sa masse et que c’ est justement le crédit qui est le moteur de cette course à la productivité et qui laisse sur le carreau les canards boiteux et engendre l’ armée des surnuméraires.

Pour être plus juste il faudrait dire qu’il y a baisse du taux de profit sur chaque unité produite, mais absolument pas globalement, sans quoi l’investissement n’ aurait pas lieu.

L’ automatisation, la robotisation, la machine qui remplace l’ homme va elle aussi pendant un certain temps cracher la plus-value contenue en elle, à moins qu’elle soit frapper d’ obsolescence grâce à une nouvelle invention.

Le ballon d’ oxygéne chinois

« ‘Au tournant des années 80 tous les ferments d’une crise majeure s’étaient donc déjà accumulés et ce n’est que le ballon d’oxygène chinois qui a permis le sauvetage provisoire du système. Mais ballon d’oxygène provisoire vu qu’il ne reposait, précisément, que sur la désindustrialisation des pays occidentaux, sans générer, pour autant, un marché chinois suffisamment endogène, même encore aujourd’hui (1). Outre que l’interdépendance est finalement un talon d’ Achille pour l’ensemble comme pour chacun des deux « partenaires », US et chinois, elle n’a pas empêché l’accumulation d’un nouveau pôle financier en Chine, générateur, en tant que challenger de l’impérialisme US, d’une nouvelle rivalité à l’échelle planétaire, et donc de nouvelles tensions internationales (2).

Mais la loi d’airain du développement des forces productives capitalistes s’applique néanmoins tout autant au nouveau géant chinois et à son tour il n’échappe pas à la pente de la délocalisation, de l’automatisation,de la robotisation, de la tertiairisation, etc… »

 

Il y a du vrai dans ce que tu avances, seulement il faudrait plutôt dire que c’ est le bas coup du travail en Chine qui a provoqué ce déplacement principalement des produits manufacturés. D’ ailleurs ce n’ est pas un hasard si la Chine était encore récemment critiquée pour son manque de productivité.

La Banque mondiale estimait que deux tiers de la croissance chinoise de 1985 à 1994 provenaient de la formation de capital, c’est-à-dire d’une croissance extensive : on ajoute des capacités de production plus qu’on améliore véritablement la productivité des unités existantes. Il en résultera une baisse du taux de profit par rapport aux investissements.

« L’un des principaux débats actuels sur l’économie chinoise consiste à observer une élévation de la masse de profit, alors que le taux de profit ne cesse de baisser : pour certains auteurs (Hofman et Kujis, 2006), une telle situation est plutôt bénéfique, seule la masse des profits bénéficiant d’une réelle importance ; or, celle-ci augmente de 36 % entre 1999 et 2005, ce qui ne serait pas négligeable. »

(Mylène Gaulard, Les limites de la croissance chinoise, http://www.herramienta.com.ar/herramienta-web-4/les-limites-de-la-croissance-chinoise.) ce lien n’ est plus visible

Si la masse de profit augmente c’ est que la Chine entre dans les critères mondiaux de productivité et qu’elle va commencer à subir les affres des occidentaux. Nous savons que la Chine délocalise au Vietnam et en Afrique (Ethiopie)…

 

 

Réponse TML >>>

 

Bonjour,

En fait, camarade, ton argumentation est évidemment en grande partie juste, mais elle trouve néanmoins, et dans ta phrase même, sa propre négation dialectique :

« la baisse du taux de profit est toujours compensé par sa masse et que c’est justement le crédit qui est le moteur de cette course à la productivité et qui laisse sur le carreau les canards boiteux et engendre l’ armée des surnuméraires.

Pour être plus juste il faudrait dire qu’il y a baisse du taux de profit sur chaque unité produite, mais absolument pas globalement, sans quoi l’investissement n’ aurait pas lieu. »

Le constat est bien précisément celui-ci : l’investissement productif direct cesse de plus en plus d’avoir lieu, remplacé par l’investissement spéculatif sur des « produits financiers » (Capital « fictif ») qui n’irriguent pas suffisamment le secteur productif pour le relancer.

Ce que tu sembles avoir du mal à comprendre, c’est que le recul global de la part du travail vivant dans l’appareil productif entraîne un appauvrissement du marché de la consommation. (Cf Marx, Grundrisse, sur la circulation)

La plus-value extraite de chaque prolétaire augmente avec l’accroissement de la productivité du travail, mais le nombre de prolétaires industriels productifs se réduit, et la masse salariale retournant dans le circuit de la consommation aussi. Et la masse salariale globale baisse d’autant plus avec la pression du chômage, et sans oublier les salaires dérisoires des prolétaires des nations soumises à l’exploitation impérialiste.

 

Et donc, inexorablement, la baisse du taux de profit se répercute sur la masse des profits issus du secteur productif.

 

Autre point:

« L’ automatisation, la robotisation, la machine qui remplace l’ homme va elle aussi pendant un certain temps cracher la plus-value contenue en elle, à moins qu’elle soit frapper d’ obsolescence grâce à une nouvelle invention. »

Ici, c’est ta formulation qui est malheureuse, vu que la machine, même « robotisée », ne produit pas de plus-value, mais restitue simplement la valeur du travail dépensé pour sa propre construction.

 

Enfin, concernant la Chine, tu mélanges également les divers aspects du problème de son développement :

Évidemment, sa force première vient du différentiel sur le coût de la main d’œuvre, qui permet une valorisation exponentielle de ses exportations, mais freine considérablement le développement de son marché intérieur, encore aujourd’hui, même si cela change, trop lentement en fait, pour résoudre le problème.

Mais sans ce différentiel, il n’y aurait pas eu de développement du capitalisme monopoliste d’État en Chine, ni de financiarisation telle que cela en fait le challenger n°1 de l’impérialisme US dans ce domine, également.

 

La Chine est donc un pays qui connaît nécessairement une modernisation dans les deux directions :

 

__Développement des forces productives classiques, avec une part importante de travail vivant, telle que lors de nos « trente glorieuses » en Occident.

__Développement de la technologie et progression de l’automatisation et de la robotisation. Nouvelles conquêtes de marchés occidentaux sur des produits hauts de gamme en matière de technologie.

 

Et donc, tant que le différentiel à l’exportation fonctionne, la masse des profits augmente, sans pour autant contredire la tendance générale. C’est le principal « contre-courant local », même si à l’échelle d’un sous-continent, et qui a donc permis au capitalisme de survivre à sa première grosse crise d’après guerre, au tournant des années 70-80.

 

Et pour que ce « différentiel » subsiste, il faut désormais que la Chine elle-même adopte un comportement impérialiste, comme tu le soulignes toi-même :

« Nous savons que la Chine délocalise au Vietnam et en Afrique (Ethiopie)… »

 

Bien à toi,

Amicalement,

 

Luniterre

 

 

 

 

 

 

 

13 commentaires

  1. « La plus-value extraite de chaque prolétaire augmente avec l’accroissement de la productivité du travail »
    T’es sûr de ça?
    Car l’augmentation de la productivité est liée à l’augmentation du capîtal fixe (l’automatisation entre autres). Donc la plus-)value par travailleur siminue car il y a moins de travail humain dans chaque marchandise.
    Si la productivité augmente totues les autres conditions restant pareil (capital fixe, salaire direct et indirect etc.) alors il y a une augmentation de la plus value extraite.
    Mais souvent même très souvent, l’augmentation de la productivité est liée à une augmentation du Capital Fixe et toutes les autres conditions égales, à une diminution du taux de profit et de laplus-value extraite, il me semble, non?

    1. Franchement, camarade, je pense que tu as du oublier de te relire, et je reviens donc sur ce point, pourtant assez évident.

      L’augmentation du capital fixe n’est évidemment pas à négliger, mais elle est d’autant plus relative que le capital « fixe » ne l’est que relativement et appelle constamment de nouveaux investissements de remplacement des matériels amortis et obsolètes.

      La démultiplication de la productivité est aussi celle de la valeur totale produite, et donc aussi, de la plus-value extraite de chaque prolétaire. Ce qui est réduit, généralement, dans le processus, c’est la marge bénéficiaire faite sur chaque produit, mais qui est donc compensée par le nombre.

      Le problème, finalement et surtout, actuellement, réside essentiellement dans la rétraction du marché, causée, entre autre, sinon principalement, par la réduction du volume total de capital en circulation dans le secteur productif.

      Luniterre

  2. Que ce soit à gauche ou à droite, le libéralisme n’a pas de projets pour les citoyens mais seulement pour les multinationales et les banques, en particulier les banques qui n’ont pas de nationalité, étant une attaque contre l’identité nationale quel que soit le pays. Les pays d’Europe de l’Est sont déjà contrôlés par les banques , leur gouvernement est contrôlé par les banques et l’industrie pharmaceutique, des conférences sur la vaccination avec des partenaires GSK, pfizer, sans tenir compte des opinions des gens . J’ai un ami d’Université là-bas en Roumanie, qui m’a dit que les médecins ont des robes avec de la publicité à Coldrex même s’ils travaillent à L’état et cela depuis de nombreuses années.Normalement, les médecins devraient être impartiaux et ne pas recevoir de commandites et de cadeaux de fabricants de médicaments, mais il y a une pratique normale. Nous ne devrions pas être autorisés à contrôler totalement nos vies, à être seulement des consommateurs de produits, avec de l’argent emprunté aux banques qui achètent des obligations d’état en échange de prêts à la consommation comme cela se produit dans les pays D’Europe de L’est I. M. M. Investir, programme offert par les banques privées, mais avec des fonds garantis par l’état. Plus les obligations d’État seront achetées, plus vite la nation disparaîtra. Les pays de l’est tomberont à leur tour comme des dominos . Il ne devrait pas être permis de se répéter en Occident. Étudiant appliqué l’informatique et l’électronique, sans voiture, j’aime marcher, penser à un monde normal sans la lutte entre l’élite et le peuple. Contre le libéralisme qui supprime l’identité et l’origine des personnes d’une zone géographique et le considère comme un objet avec un code PIN ou un compte bancaire exactement comme le numéro a été inscrit sur le corps des prisonniers dans le camp pendant la Guerre mondiale, sans considérer que nous avons un nom, dans lequel notre origine est préservée qui doit être. Si nous ne prenons pas Position, ils passeront de notre identité connue sous un code PIN à notre identité sous une puce dont vous ne vous débarrasserez jamais. A partir de ce moment, vous serez leur esclave de l’élite mondiale.Le seul système bancaire qui doit exister que sous la forme de la Banque Nationale de chaque pays.

  3. La pandémie est la première étape par laquelle ceux qui ont créé cette situation dans laquelle la population a des restrictions de mouvement étant forcé de rester dans la maison, suivi plus tard que la population soit fermée dans toute la ville comme un ghetto, entouré de clôtures avec des barbelés électrifiés, avec des patrouilles de police et des mercenaires militaires qui défendront Ce qui se passe maintenant semble des films qui ont déjà été réalisés et qui ont exactement le scénario que nous vivons aujourd’hui. Par conséquent, le mal doit être éliminé dès le début, comme il était de 2 siècles. Ce clan du monde qui développe ces scénarios sont utilisés par la télévision et la presse, Beaucoup d’entre eux étant dans leur propriété.

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