Le maoïsme, une « dialectique » de la trahison?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le maoïsme, une « dialectique » de la trahison?

 

 

En marge du débat sur Hong Kong, revient la question connexe du rôle historique de Mao Zedong, d’où ces échanges avec le camarade Do, sur son site, ici republiés séparément :

 

Hong Kong : Résistance Populaire ! 25 août 14:40, par do

Salut Luniterre,

Je ne dis pas que tu as choisi le camp de l’impérialisme US, dont tu dis toi-même qu’il est l’ennemi N°1 du prolétariat. Je dis que tu fais une erreur d’analyse, peut-être due au fait que tu ne pardonnes pas à la Chine la trahison de Mao en 1971-72. Je sais bien que tu es comme moi dans le camp du prolétariat.

Bien à toi,
do
http://mai68.org

 

 

Hong Kong : Résistance Populaire ! 27 août 03:53, par Luniterre

 

[…]

Pour répondre à [ celle ci] de tes questions, non, Mao n’a pas « trahi » réellement : il n’a fait que suivre sa propre « philosophie » opportuniste telle que décrite dans son texte « fondamental » >>> « De la contradiction »

>>> Une forme de « trahison » réside néanmoins effectivement dans le fait qu’il tentait de se faire passer pour un ML, et même « plus ML que moi tu meurs »…

Dès l’époque de Staline les soviétiques n’étaient pas dupes mais le soutenaient contre les japonais puis contre les américains.

Cette duperie était néanmoins entretenue en France par les thoreziens, époque dont Althusser est le sous-produit, encore assez toxique aujourd’hui, sous différentes formes, comme le thorezisme, du reste.

Ma « rancune » s’il en est, ne va pas spécialement à Mao, mais surtout à ses sous-produits français qui ont dupé une bonne partie de la jeunesse soixante-huitarde, au lieu de la former réellement au ML.

 

Luniterre

 

Hong Kong : Résistance Populaire ! 4 septembre 15:09, par do

Salut,

Il s’agit bel et bien d’une trahison de Mao commise à l’instigation des USA.

Si le camp communiste comprenant notamment la Chine et l’URSS était resté uni, si l’alliance URSS-Chine était restée solide, jamais les USA n’auraient gagné la guerre froide.

Mais Mao Tse Toung a préféré redonner vie à la vieille haine entre la Russie et la chine datant d’avant le communisme, et s’allier aux USA pour éliminer l’URSS.

C’est de la même façon que Cortez avait vaincu les Indiens en se servant des divisions qu’il y avait au sein d’eux, les uns exploitant les autres. Il se trouve seulement que la domination des Blancs sur l’ensemble des Indiens fut bien plus terrible que la domination de certaines tribus indiennes sur d’autres.

Le tout est de déterminer quel est le pire ennemi. Et Mao Tse Toung a décrété que son pire ennemi était l’URSS et s’est donc allié avec les USA, ce qui est une faute lourde. Les USA n’ayant jamais respecté un traité de paix ou une alliance.

La seule excuse de Mao était qu’il était trop vieux pour avoir l’esprit clair et qu’il a laissé remonter en lui cette vieille haine millénaire entre la Chine et la Russie.

La victoire du capitalisme contre le communisme par la division du camp communiste avait d’ailleurs été prévu par Guy Debord dès 1967. En effet, la thèse 111 de La société du spectacle annonce déjà à cette époque :

« À ce moment du développement, le titre de propriété idéologique de la bureaucratie s’effondre déjà à l’échelle internationale. Le pouvoir qui s’était établi nationalement en tant que modèle fondamentalement internationaliste doit admettre qu’il ne peut plus prétendre maintenir sa cohésion mensongère au delà de chaque frontière nationale. L’inégal développement économique que connaissent des bureaucraties, aux intérêts concurrents, qui ont réussi à posséder leur « socialisme » en dehors d’un seul pays, a conduit à l’affrontement public et complet du mensonge russe et du mensonge chinois. À partir de ce point, chaque bureaucratie au pouvoir, ou chaque parti totalitaire candidat au pouvoir laissé par la période stalinienne dans quelques classes ouvrières nationales, doit suivre sa propre voie. S’ajoutant aux manifestations de négation intérieure qui commencèrent à s’affirmer devant le monde avec la révolte ouvrière de Berlin- Est opposant aux bureaucrate s son exigence d’« un gouvernement de métallurgistes », et qui sont déjà allées une fois jusqu’au pouvoir des conseils ouvriers de Hongrie, la décomposition mondial e de l’alliance de la mystification bureaucratique est, en dernière analyse, le facteur le plus défavorable pour le développement actuel de la société capitaliste. La bourgeoisie est en train de perdre l’adversaire qui la soutenait objectivement en unifiant illusoirement toute négation de l’ordre existant. Une telle division du travail spectaculaire voit sa fin quand le rôle pseudo-révolutionnaire se divise à son tour. L’élément spectaculaire de la dissolution du mouvement ouvrier va être lui-même dissous. »

Bien à toi,
do
http://mai68.org

 

Hong Kong : Résistance Populaire ! 4 septembre 19:00, par Luniterre

 

Bonjour, camarade !

La pensée de Debord s’est essentiellement formée au début des années 50 et en partie sous l’influence du gauchisme de l’époque, et aussi du trotskysme. Néanmoins son apport personnel est tout à fait original et considérable.

Il faut donc dialectiquement considérer ces différents aspects et influences.

Le corpus essentiel de son apport critique du capitalisme sur la société du spectacle reste encore d’actualité, même si l’évolution actuelle du capitalisme, comme on l’a vu à propos de ce que tu as toi même baptisé « société de l’arnaque » ne peut donc s’y résumer. Même à son époque je pense que c’était néanmoins une erreur relative, même si compréhensible, de résumer le capitalisme à sa forme « société du spectacle », même si elle était en pleine émergence et en train d’affirmer sa domination idéologique, toujours actuelle.

Cette approche assez univoque l’empêchait donc de voir et comprendre d’autres aspects des luttes de classe en cours, y compris à l’échelle internationale.

La bourgeoisie bureaucratique en URSS s’est formée et est devenue dominante au cours d’un processus de lutte de classes complexe qui ne peut être résumé dans un post. Incidemment, quelques aspects concernant une phase décisive de cette lutte sont abordés dans un de mes posts en réponse sur « Reconstruction Communiste » et repris également en article ici :

http://lesvraisamisdelurss.eklablog.fr/staline-contre-le-culte-de-la-personnalite-a168041314

D’un point de vue dialectique, il faut également considérer le maoïsme sous ses différents aspects :

En tant que mouvement de libération nationale, il est effectivement resté dans le camp anti-impérialiste jusqu’en 1971 et donc « révolutionnaire » sous cet aspect.

C’est en ce sens, mais en ce sens seulement que l’on peut parler de « trahison de Mao ».

Mais considéré d’un point de vue communiste ML on comprend que le maoïsme est dès son origine une forme de révisionnisme et n’a, quant au fond, rien de ML, sauf un vernis de vocabulaire destiné à masquer précisément son opportunisme vis à vis de l’URSS. Ce qui est déjà suffisamment flagrant dans son texte « théorique » le plus fondamental : « De la contradiction », dont on ne connait même pas vraiment la version originale de 1937, vraisemblablement encore plus grossière, sous ce rapport !

Le plus consternant, c’est que les « intellectuels de gauche », en France, on fait de ce texte une référence, et déjà sous l’égide de Thorez, avec la publication, en 1954, d’une édition totalement apocryphe dite « principes fondamentaux » attribué donc tout à fait abusivement à Politzer, assassiné par les nazis en 1942, comme tu le sais, et donc alors que le texte de Mao était absolument inconnu en Occident !

Ensuite Althusser et ses émules ont pris le relai de ce mensonge… parmi d’autres mensonges.

Bien entendu, les soviétiques, à l’époque de Staline, n’étaient pas dupes.
Molotov sur Mao Tsé-toung :
« C’est un homme intelligent, un leader paysan, une sorte de Pougatchev chinois. Bien sûr, il était loin d’être marxiste. Il est venu pour le soixante-dixième anniversaire de Staline, en 1949. Il est resté quelque chose comme six semaines à la datcha de Staline. Il a été un peu souffrant. Nous sommes allés lui rendre visite Mikoyan et moi. Nous avons eu un entretien. Il nous a fait goûter du thé vert chinois. Je me souviens qu’il a dit notamment : « Je n’ai jamais lu Le Capital de Marx. » Pourquoi a-t-il dit ça ? Pour montrer qu’il n’avait rien d’un doctrinaire ? » (V. Molotov, cité dans Conversations avec Molotov — 140 entretiens avec le bras droit de Staline —, Félix Tchouev, Albin Michel, 1995, pp. 119-120.

Dans un premier temps, Mao et Khrouchtchev étaient donc parti pour s’entendre, jusqu’à ce qu’effectivement les intérêts des deux bourgeoisies nationales bureaucratiques rentrent en conflit, évidemment pas pour des raisons idéologiques, et en ce sens le constat de Debord est effectivement juste, en grande partie, à l’époque où il l’écrit.

Luniterre

 

 

4 commentaires

  1. NDTML >>> CONFORMÉMENT A LA LIGNE ÉDITORIALE DU BLOG, LES PROPOS INSULTANTS DE M. FREYCHET NE SONT PAS PUBLIÉS

    25 août 14:40, par do http://mai68.org

    Salut Luniterre,
    Je ne dis pas que tu as choisi le camp de l’impérialisme US, dont tu dis toi-même qu’il est l’ennemi N°1 du prolétariat. Je dis que tu fais une erreur d’analyse, peut-être due au fait que tu ne pardonnes pas à la Chine la trahison de Mao en 1971-72. Je sais bien que tu es comme moi dans le camp du prolétariat.
    Bien à toi,
    do

    Commentaire et un peu plus à l’intention surtout de Luniterre par Freychet Jack

    Quel camp du prolétariat, celui défini par Engels, Marx ou celui de Raymond Aron ?

    Dans le premier cas il s’agit de tous ceux qui démunis de moyens de productions sont contraint de vendre leur force de travail, leur savoir faire au capitaliste qui les détient. Par conséquent en font partie les travailleurs manuels et intellectuels, en fait le salariat dans son ensemble CDI, CDD, intermittents, précaires, c’est ce que je définis comme étant la Classe œuvrière et par extension les chômeurs et les retraités anciens salariés.

    Selon Raymond Aron (en 1955), le prolétariat regrouperait « les salariés qui travaillent de leurs mains dans les usines », c’est-à-dire les ouvriers cela ne concerne que les travailleurs manuels. C’est cette catégorie, celle qui produit directement non seulement le consommable et surtout les engins de productions que nous devons importer qui est en voie de disparition en France comme dans les pays d’Europe Occidentale.
    Globalement cela représente déjà une large majorité de la population française qui pourrait aisément battre en brèche le pouvoir sans partage de la bourgeoisie que ce soit dans la rue et (ou) dans les urnes. Hélas la conscience d’appartenir à une classe grugée est très majoritairement absente en outre les confédérations syndicales ont déserté le terrain des luttes, seules subsistent ça et là quelques tentatives d’améliorer le plan social lorsque la délocalisation est en route c’est-à-dire bien trop tard.

    De plus la solidarité inter groupes tend à disparaître, l’égocentrisme aidant les CDI qui aspirent à conserver leur emploi à temps plein, à monter en grade ou à obtenir une augmentation de salaire ne serait ce qu’infinitésimale font de la Lèche et se fichent des précaires, intermittents et des CDD qui eux-mêmes courbent l’échine d’une part pour conserver leur maigre prébende le plus longtemps possible d’autre part pour accéder au wagon supérieur, l’exception confirmant la règle.

    Les salariés qui ont quitté la vie active à l’époque ou la retraite médiane était de 1350 euros mensuels n’ont pas les mêmes impatiences, surtout pour un couple avec 2×1350 = 2700 euros que de ceux qui partent aujourd’hui en inactivité avec une retraite médiane inférieure à 1000 Euros et sont condamnés à reprendre une activité. Avec la réforme gouvernementale annoncée, anciens, nouveaux et futurs retraités doivent s’attendre à une érosion encore plus importante de leurs revenus et par conséquent à un ralentissement de la croissance. Pour preuve son léger rebond observé après les 10 milliards lâchés par le pouvoir en réponse aux manifestations des gilets jaunes, c’est du moins ce que disent les médias officiels. j’en ai conclu que toute restriction de la consommation doit avoir l’effet contraire. Savoir écouter, lire, interpréter sont des fondamentaux que chacun devrait maîtriser.

    Sterdyniak dit, en l’état du projet de réforme, que le pouvoir d’achat des retraités va baisser de 24% par rapport aux salaires Il propose de compenser par une augmentation de la taxe sur les salaires qui se traduira par une baisse du pouvoir d’achat. Mais je ne l’ai pas entendu dire, ni lu sus sur un texte de sa plumet, de nulle autre personne non plus, qu’une politique de plein emploi permettrait d’équilibrer les caisses de retraites tout en conservant le niveau des prestations servies.

    Que dit [TML] ?

    Mais l’état de prolétaire ne génère pas spontanément la conscience de classe sans laquelle il ne peut y avoir de développement de la lutte du même nom, ni même peu ou prou de contestation de la politique du pouvoir de la bourgeoisie occidentaliste qui aspire à dicter sa loi sur l’ensemble de la planète, en France via l’Union Européenne, au nom du profit d’appropriation privée le plus grand dans le laps de temps le plus court possible sur l’ensemble de la planète.

    Vos [ données économiques ] chiffrées ni changeront rien mais contribuent à déboussoler encore plus les rares qui sont toujours en recherche de solutions alternatives économiques et politiques. J’ai les pieds ancré sur terre, vous n’avez aucune chance pour ce qui me concerne.

    Macron l’avait annoncé dès avant le premier tour des élections municipales, son objectif était de faire ce que ni la droite ni la prétendue gauche n’avait osé faire c’est-à-dire réduire la protection sociale au minimum de survie, casser le code du travail, réduire le niveau des salaires pour gagner en compétitivité. Droite et gauche appelant à faire barrage à Marine le Pen ont garanti son élection au second tour, il a été ainsi en mesure de tenir ses engagements.

    Il ne faut pas chercher ailleurs les raisons de la chute électorale de la droite, de l’éparpillement des voix social démocrates, de la quasi disparition de l’électorat communiste devenu DKP( phonétiquement), ce qui rend ridicule votre acharnement à vilipender les « renoncements » thorézien qui ont été à l’origine de l’essor économique et social dit des trente glorieuses, le fait que le parti des abstentionnistes soit devenu le plus grand parti de France du fait de l’absence de perspective de changement qui en résulte. Et vous accompagnez le mouvement !

    […]

    Moi je suis un cocu du système capitaliste: Conscient de l’être j’agis en conséquence également pour tenter de préserver les nouvelle générations du fléau, je suis bisaïeul.

    Je reste néanmoins optimiste et compte beaucoup pour cela sur la versatilité des foules qui souvent brûlent le lendemain ce qu’elles avaient adoré la veille. En 1940 à part les résistants de la première heure la France était globalement pétainiste et vichyste, ce cher Mitterand, à la libération même les plus acharnés avait un brassard tricolore, ils avaient spontanément viré leur cuti ! J’ai vécu cette période.

    Notez également que si j’admets qu’une bonne vérité puisse blesser, ce n’est pas une insulte, par contre persister dans l’erreur au mépris de l’évidence en devient pathologique. Censurer, tronquer, extraire une proposition du texte qui vous est adressé, de son contexte, comme vous le faite est faire preuve de malhonnêteté intellectuelle.

    Freychet Jack

    1. Compte tenu de votre effort pour tenter d’argumenter, ce post est donc publié, moins les propos insultants et méprisants dont vous semblez donc incapable de vous départir…

      Les chiffres et données économiques publiés sur TML sont ceux que tout un chacun peut retrouver sur le net, en se donnant la peine de simplement chercher à comprendre ce qui se passe dans le monde actuel.

      Question définition, vous confondez donc prolétariat en général, et prolétariat idustriel, c’est à dire la classe ouvrière proprement dite.

      Lorsque la distinction est nécessaire, cela est donc précisé, sur TML, par le simple emploi de ces termes :
      __prolétariat
      __prolétariat industriel
      __classe ouvrière
      [>>> inclus l’ « aristocratie ouvrière », telle que définie par Marx, et qui n’appartient donc plus nécessairement au prolétariat stricto sensu.]

      Le capitalisme ne se limite pas à la « bourgeoisie occidentaliste », et encore moins, à l’UE, même en Europe, mais recouvre l’ensemble des flux financiers qui exploitent les ressources naturelles de la planète, et en premier lieu, les ressources humaines.

      Cela inclut donc les flux financiers chinois, les seconds, en importance, après les flux US, sur la planète.

      Les reculs électoraux du PCF ont commencé dès les années 50, suite à la capitulation de ce parti face au Plan Marshall.
      (Relire Jdanov!)

      Quelque sursauts sporadiques n’ont jamais réussi à inverser cette tendance de fond, dont on voit le résultat aujourd’hui !

      Les progrès sociaux indéniables en France sous les « trente glorieuses » sont bien le fruit de la kollaboration de classe thorezienne visant à faciliter la reconstruction de l’impérialisme français dès la libération du joug fasciste.

      Concernant une alternative au capitalisme, il est évident qu’une économie de transition socialiste implique le partage du travail, et donc l’éradication du chômage :

      https://tribunemlreypa.wordpress.com/2017-pour-sortir-de-limpasse-la-revolution-du-retour-au-reel/


      « ___2_Créer un nouvel équilibre économique où les forces productives sont employées pour répondre aux besoins sociaux réels, et non à l’accumulation du capital. Cela seulement rendra possible le partage du travail entre tous, éliminant ainsi le chômage et la précarité.

      L’avenir du mouvement social n’existe donc concrètement qu’autour des revendications pour un tel partage véritablement socialiste prolétarien du travail, impliquant la socialisation des moyens de production et des services essentiels.
      .
      __3_Recensement des besoins sociaux urgents actuellement non satisfaits, notamment en matière de logement et de santé.
       
      __4_Recensement des forces productives disponibles et nécessaires à développer pour satisfaire ces besoins réels.
       
      __5_Redéfinition d’un budget en équilibre, en base valeur-travail, entre ces forces productives et ces besoins.
       
      __6_Redéfinition, dans cet équilibre, de la durée moyenne hebdomadaire de travail, nécessaire pour atteindre cet objectif.
       
      __7_Réajustement, dans le cadre de cet équilibre, du SMIC à un niveau permettant d’accéder au moins à la satisfaction pour tous des besoins sociaux essentiels, notamment en matière de logement, éducation, culture, sport, etc…
       
      __8_Prise en compte, dans cet équilibre, de l’effort collectif nécessaire aux objectifs de sécurité, de développement social et de solidarité. »

      Luniterre

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.